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Christine Tellier

Conseillère départementale

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Membre de la commission interne « Bien vieillir, Handicap, Inclusion, Logement et Sport »

 

En qualité de titulaire : 

·        Collège d'Orléans "La Croix Saint-Marceau"

·        Collège d'Orléans-Saint Marceau "Etienne Dolet"

·        Commission départementale consultative des gens du voyage

·        Commission locale d'amélioration de l'habitat

·        Contrat local de santé d'Orléans Métropole

·        Fonds unifié logement (FSL) - Comité directeur

         Je suis arrivée à Orléans en 1974 pour mes études de sciences naturelles, durant lesquelles j’ai découvert les fondamentaux de l’écologie (toutefois fort peu enseignée à l’époque), et j’en garde une pensée « écosystémique ». Après l’obtention de ma maîtrise, j’ai exercé successivement comme enseignante (éducation nationale), art-thérapeute (PEP du Loiret), directrice de l’association action pour les Gens du Voyage et enfin DG de l’Apléat-ACEP (Association médicosociale de prévention, soins et accompagnement en addictologie, maladies chroniques pour personnes en difficultés spécifique) jusqu’en mai 2019.


       Je me suis engagée dans la liste OSE lors des élections municipales de 2020, notamment pour apporter ma contribution au collectif dans les champs de l’éducation, action sociale et santé. C’est à ce titre et soutenue pas EELV que j’ai été candidate aux élections départementales de 2021 en binôme avec Hugues RAIMBIURG, dans le canton 2 d’Orléans (Saint-Marceau /La Source).

  • Personnalité associée du CESE, jusqu’en avril 2021, dans la section des affaires sociale et de la santé, j’ai été co-rapporteure de l’avis « L’hôpital au service du droit à la santé » en 2020.

  • Membre du Conseil d’Administration de la Fédération Addiction jusqu’à mon élection que je représentais à la CNS (Conférence Nationale de Santé), et également au comité de concertation de l’HAS en tant que membre suppléante.

  • Engagée professionnellement dans le secteur associatif pour lequel j’ai quitté la fonction publique, j’étais (jusqu’à mon élection) et à titre personnel :

    • Présidente de Cultures du Cœur du Loiret (et membre du CA national)

    • Membre du bureau de la Mission Locale d’Orléans

    • Membre du bureau de l’Association Départementale Action pour les Gens du Voyage du Loiret.

    • Administratrice de la CAF du Loiret

J’ai renoncé à tous mes mandats associatifs afin de n’avoir aucun conflit d’intérêt pendant mon mandat de Conseillère Départementale.
 

          Mes fonctions passées m’ont amenée à dialoguer avec les administrations de différents ministères et collectivités territoriales, comme avec des élus, des organisations privées à but non lucratifs et lucratifs, des associations d’usagers, des acteurs des secteurs sanitaire et médicosocial, social, de la ville et de la vie associative (loisirs, culture), etc.


            La santé, le social, l’éducation, la prévention, la lutte contre l’exclusion, le handicap… Mon parcours professionnel « plurisectoriel » s’est enraciné dans ce secteur associatif dont les valeurs et le dynamisme ont conforté mon inclinaison à entreprendre pour des causes humanistes. De par ma formation d’évaluateur externe des organismes médicosociaux dépendant de la loi 2002-2, je m’attache à promouvoir une culture de l’évaluation des politiques publiques comme outil de gouvernance. Cette dynamique ascendante et descendante, facilite la modification des perceptions collectives en faveur du sens commun de l’intérêt collectif.
         Tout au long de ma carrière, au regard des concitoyens enfants, jeunes ou adultes pour qui j’ai travaillé dans le secteur de l’éducation, de l’insertion, de l’exclusion ou du soin, il m’est toujours apparu indispensable de sortir certains groupes d’une situation exorbitante de par leur statut de citoyen (ex : carte d’identité versus livret de circulation imposé aux gens du voyage) ou de par leurs situations psychosociales (difficultés spécifiques, consommations de stupéfiants) en les soutenant de mon mieux dans des instances contribuant aux politiques publiques ou à leur mise en œuvre. Y être active et contribuer aux réflexions collectives, de fait, leur donne place.
          Enfin, je veux promouvoir l’intelligence collective pour des solutions optimistes et écologiques aux ruptures de notre société, financières, générationnelles, territoriales ou politiques, puiser dans l’espérance humaine et la fierté républicaine pour inventer et construire un avenir pour tous, reconnaître nos fragilités et s’appuyer sur nos atouts et notre créativité pour ériger une société vigoureuse, évolutive et riche de l’adhésion de toutes nos forces vives.

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